Dans une déclaration, les responsables de Légendaire Immobilier Ivoirien-L2I, sous couvert de l’anonymat, font connaître au grand public leurs activités.
Cette sortie médiatique intervient après un communiqué du ministère ivoirien de la Construction, du logement et de l’urbanisme (MCLU) indiquant qu’« aucun promoteur immobilier agréé du nom de Légendaire immobilier ivoirien L2I, ni de programmes immobiliers agréés dénommés GAHIE 3 et GAHIE 5 » n’existent dans ses fichiers.
« Légendaire Immobilier Ivoirien L2I n’est pas un promoteur immobilier et n’a jamais eu l’intention de se faire passer pour un promoteur immobilier. Ce n’est qu’une simple Page Facebook », a précisé l’un des responsables de l’entreprise incriminée.
Cette Page Facebook, dira-t-il, est « gérée par un agent commercial qui ne fait que la promotion des biens immobiliers de promoteurs agréés comme le font plusieurs sur la toile moyennant une commission ».
Selon les explications, lorsqu’une entreprise veut vendre ses biens, elle passe par des pages de promotion commerciales comme celle de Légendaire Immobilier ivoirien L2I. Ensuite, la société leur soumet des contrats afin que les pages sur le web leur proposent des clients pour avoir en retour des commissionnements.
Il fera savoir que les clients passent par leur canal pour acheter les maisons chez le promoteur agréé, tout en rassurant « les populations surtout les clients qui ont souscrit via leur canal qu’ils ne sont pas des arnaqueurs ».
« Les programmes GAHIE 3 et GAHIE 5 existent bel et bien. Tous ceux avec qui nous travaillons sont des promoteurs agréés », a-t-il ajouté. Les gestionnaires de la page Facebook Légendaire Immobilier Ivoirien L2I entendent entreprendre des démarches pour entrer en contact avec le ministère pour leur porter l’information.
Ils prévoient, toutefois, de se conformer à loi au cas où il existerait une loi qui encadre la vente des biens immobiliers en ligne. La page Facebook Légendaire Immobilier Ivoirien L2I exerce cette activité promotionnelle de biens immobiliers depuis deux ans.
AP/APA