Les quotidiens sénégalais parvenus ce mardi à APA mettent l’accent sur le sit-in et la grève de 48 heures du Syndicat autonome de l’enseignement supérieur (SAES) pour exiger la réouverture des universités initialement prévue le 3 octobre 2023, mais repoussée à janvier 2024.
« Journée école morte du SAEMS et du CUSEMS aujourd’hui, menaces du ministère de l’Education, grève du SAES-Revoilà la crise ! », s’exclame Sud Quotidien, soulignant que le SAES, majoritaire dans les universités publiques, maintient la pression sur les autorités.
Selon nos confrères, la grève de la section SAES diffère la reprise à l’Université Amadou Makhtar Mbow et que le mot d’ordre est largement suivi à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis.
« Ouverture des universités-Le SAES en ordre de bataille. Le présentiel exigé dès ce mercredi », informe Walf Quotidien.
« Pour la réouverture de l’UCAD-Le SAES manifeste devant le Rectorat », renchérit Le Quotidien dans sa manchette, faisant dire à Bés Bi que « le SAES appelle les étudiants à un front commun ».
Ce journal revient sur les nominations au défunt Observatoire national des élections (ONEL) et à la Commission électorale nationale autonome (CENA) avec des « histoires de récusation ».
« Cheikh Awa Balla Fall comme le général Abdoulaye Dieng sur les mouvements de soutien. Moustapha Touré contesté, puis réhabilité. Décisions gênantes de la CENA : L’affaire Ndindy et Ndoulo comme celle des fiches de Sonko », détaillent nos confrères de Bés Bi.
La lutte contre l’émigration fait la Une du Quotidien qui note que « Macky fait des vagues » et interpelle le Chef d’Etat-major général des armées (CEMGA) et les Forces de défense et de sécurité (FDS) sur le nombre de départs.
Traitant de la fuite du document médial de Sonko, L’Observateur renseigne que « deux gradés de l’administration pénitentiaire (sont) arrêtés par la DIC ».
Il s’agit, selon ce quotidien, de l’Inspecteur Idrissa Sow et de l’Adjudant Issa Ndione perdus par leur téléphone.
A propos de la campagne de commercialisation de l’arachide, Le Soleil révèle que « près de 90 milliards de Fcfa (sont) disponibles ».
TE/APA